M. DOE YAO M PARFAIT / Dossier n°6012 / LICENCE en BANQUES FINANCES
L’objectif général de ce mémoire est de proposer des pistes de solutions pouvant permettre au Cabinet Financas Consulting (CFC) de mieux financer son BFR et pallier ainsi à ses difficultés de trésorerie.
Nos objectifs spécifiques sont entre autres de :
Présenter la manière dont la trésorerie est gérer au CFC ;
Déceler la cause des difficultés de trésorerie au CFC.
En effet, la manière dont se porte une entreprise est tributaire de la manière dont la gestion financière de celle-ci est faite. Une mauvaise planification des entrées et sorties de fonds entraine toute sorte de conséquence négative sur le bon déroulement des activités de ladite entreprise.
En terme de conséquence négative, nous notons principalement les difficultés de financement du Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) ; des manques à gagner dus à l’insuffisance de liquidité ; …
Etant en stage au CFC, nous avons constaté la difficulté qu’a celle-ci de disposer de la trésorerie suffisante pour mieux financer son Besoin en Fonds de Roulement. Cette situation se traduit par : le retard dans le règlement de diverses charges mensuelle d’exploitation notamment les salaires et le loyer ; l’incapacité des fois pour le cabinet, de postuler à certains marchés ou contrats car le cabinet ne dispose pas suffisamment de fonds pour le cautionnement demandé ; …
La méthodologie utilisée a consisté à nous enquérir de la manière dont la trésorerie du cabinet est gérer actuellement afin d’y déceler les manquements éventuels. Pour arriver à cette fin, nous avons utilisé les outils comme l’entretien, la recherche documentaire et l’observation. Nous nous somme inscrit dans une démarche qualitative donc et n’avons pas posé d’hypothèse.
Les conclusions issues de nos recherches nous ont permis de comprendre que le cabinet se trouve dans une situation de besoin de financement de son exploitation suite au retards de paiement de ses clients, à certains investissement en matériels informatique non prévue et surtout, des dépenses en communication qui n’engendrent pas les retours financiers attendus. Par ailleurs, la manière dont le cabinet s’y prend pour financer son BFR, c’est-à-dire le financement direct (avance d’entreprise), impact négativement sa rentabilité. Nous avons proposés des mesures pouvant permettre au cabinet de mieux faire face dorénavant à ses besoins.
